Renoncer à une psychothérapie : quel coût ?
Q: Je risque de perdre mon emploi car je ne suis plus du tout à mon affaire dans mon travail depuis des mois. Mais j’hésite encore à consulter un psy, car j’ai entendu dire qu’une psychothérapie peut durer longtemps et coûter cher.
R: Effectivement, une psychothérapie est un engagement conséquent, qui oblige à donner de sa personne, de son temps, de son argent. Mais nous devons aussi calculer les coûts d’une perte d’emploi, d’un divorce, des complications de santé qui peuvent découler d’un enlisement dans ses difficultés… Ceci dit, il est fréquent que la situation s’améliore au quotidien après quelques séances déjà. Ensuite la poursuite d’un travail approfondi est un choix personnel, qui vise notamment à réduire le risque de rechute.
Par ailleurs, se sentir mieux permet d’avoir des relations plus satisfaisantes avec son entourage, d’être plus disponible pour ses études ou son travail, ce qui en fin de compte peut contribuer à mieux gagner sa vie ! J’ai souvent rencontré des personnes qui se montraient de prime abord très sceptiques, mais qui rapidement, en réalisant le soulagement et les bénéfices qu’apporte un travail sur soi, en ont fait un investissement prioritaire dans leur vie.
Q: J’ai des problèmes de sommeil, des conflits dans mon couple, mais je ne sais pas si je dois demander des médicaments à mon médecin, rencontrer un psychologue, ou si nous devrions faire une thérapie de couple, car il y a tellement de cabinets différents à Genève ?
Q: A quoi bon consulter un psy alors qu’il existe tant de lectures consacrées au développement personnel en librairie ?
Q : Qu’est-ce qui distingue l’approche d’un sexologue ou d’un psychanalyste ? Je m’entends bien au quotidien avec mon mari mais notre sexualité fonctionne au ralenti.
Q : Nous sommes inquiets car notre adolescente de 15 ans semble influencée par les courants actuels qui nous interrogent vraiment sur les questions de ce qui doit être considéré comme normal dans les orientations sexuelles.
Q: Quelle est la durée moyenne d’une psychothérapie ?