Consultations conjugales : problèmes sexuels et sentimentaux
Q : Qu’est-ce qui distingue l’approche d’un sexologue ou d’un psychanalyste ? Je m’entends bien au quotidien avec mon mari mais notre sexualité fonctionne au ralenti.
R : Vie personnelle, relation affective au sein du couple, sexualité, histoire familiale de chaque partenaire sont autant de facettes d’une réalité complexe. On pourrait décrire cette réalité comme les racines qui amènent la sève nourricière dans la relation amoureuse, mais parfois l’on a aussi le sentiment qu’elles ne suffisent plus à nourrir des branches qui menacent de sécher, puis de se rompre.
Pour le sexologue, la porte d’entrée privilégiée dans le labyrinthe de l’intimité consiste à pouvoir aborder directement la manière dont chacun vit sa sexualité dans le couple. C’est de ce point de vue que les partenaires peuvent exprimer une souffrance, des inquiétudes, des incompréhensions ou des conflits dans leurs échanges, mais aussi bien sûr les désirs qui sont en jeu. Les symptômes sexuels apparaissent comme un prisme de la relation singulière de ce couple. Aborder directement ces symptômes est un premier pas vers une modification de la relation affective.
Partant d’une chemin différent, le psychanalyste oriente son écoute sur la manière dont chacun se raconte son histoire d’amour, la rencontre, les crises, les attentes, etc. Son attention vise moins à viser un un symptôme précis qu’à mettre en lumière les liens profonds qui sous-tendent les interactions du couple. Il s’intéresse à la manière dont s’est construite l’histoire du couple, à partir des différences de chacun. Le travail thérapeutique consistera à favoriser le développement d’une meilleure synergie entre les idéaux et les attentes de chacun, en prenant mieux en compte les points qui différencient les partenaires, ces points étant sources de conflits autant que de richesses.
Mais parfois, comme vous semblez le décrire dans votre couple, on observe comme un grand écart entre les satisfactions sexuelles et les relations de « bon ménage ». On peut se sentir bien au lit et pas à table, bien à table et pas au lit… La réponse à ce genre d’énigme n’est pas simple, elle est le fruit d’un travail d’élaboration avec le psychothérapeute.
Q : Je souhaiterais consulter un psychothérapeute mais l’annuaire de psychothérapeutes à Genève est si touffu que je m’y perds. Pourriez-vous me guider dans ce choix ?
R : Vie personnelle, relation affective au sein du couple, sexualité, histoire familiale de chaque partenaire sont autant de facettes d’une réalité complexe. On pourrait décrire cette réalité comme les racines qui amènent la sève nourricière dans la relation amoureuse, mais parfois l’on a aussi le sentiment qu’elles ne suffisent plus à nourrir des branches qui menacent de sécher, puis de se rompre.
Pour le sexologue, la porte d’entrée privilégiée dans le labyrinthe de l’intimité consiste à pouvoir aborder directement la manière dont chacun vit sa sexualité dans le couple. C’est de ce point de vue que les partenaires peuvent exprimer une souffrance, des inquiétudes, des incompréhensions ou des conflits dans leurs échanges, mais aussi bien sûr les désirs qui sont en jeu. Les symptômes sexuels apparaissent comme un prisme de la relation singulière de ce couple. Aborder directement ces symptômes est un premier pas vers une modification de la relation affective.
Partant d’une chemin différent, le psychanalyste oriente son écoute sur la manière dont chacun se raconte son histoire d’amour, la rencontre, les crises, les attentes, etc. Son attention vise moins à viser un un symptôme précis qu’à mettre en lumière les liens profonds qui sous-tendent les interactions du couple. Il s’intéresse à la manière dont s’est construite l’histoire du couple, à partir des différences de chacun. Le travail thérapeutique consistera à favoriser le développement d’une meilleure synergie entre les idéaux et les attentes de chacun, en prenant mieux en compte les points qui différencient les partenaires, ces points étant sources de conflits autant que de richesses.
Mais parfois, comme vous semblez le décrire dans votre couple, on observe comme un grand écart entre les satisfactions sexuelles et les relations de « bon ménage ». On peut se sentir bien au lit et pas à table, bien à table et pas au lit… La réponse à ce genre d’énigme n’est pas simple, elle est le fruit d’un travail d’élaboration avec le psychothérapeute.
Q : Ne faut-il pas être un peu fou pour consulter un psy ?
Q : Depuis le début de la pandémie du coronavirus, j’ai l’impression que quelque chose en moi est en train de lâcher, je suis souvent au bord des larmes, j’ai de la peine à me concentrer dans mon travail. Je n’avais pas connu ce genre de problème dans le passé. Dois-je consulter ou attendre que cela passe tout seul ?
Q : Depuis quelque temps, notre fille a tendance à s’enfermer dans sa chambre. Elle a exprimé à plusieurs reprises qu’elle en a assez de tout, et qu’elle pense que ce serait mieux pour tout le monde qu’elle ne soit plus là. Nous sommes très inquiets, et aimerions savoir quelle attitude adopter.