Auteur/autrice : Hervé Bridy

Q : J’aimerais pouvoir trouver très rapidement une solution à mes problèmes personnels sans avoir à m’engager dans un travail psychologique qui prenne du temps.

Q : Les traitements psychologiques sont-ils pris en charge par l’assurance maladie ?

Q : Ne faut-il pas être un peu fou pour consulter un psy ?

Q : Je souhaiterais consulter un psychothérapeute mais l’annuaire de psychothérapeutes à Genève est si touffu que je m’y perds. Pourriez-vous me guider dans ce choix ?

Q : Qu’est-ce qui distingue l’approche d’un sexologue ou d’un psychanalyste ? Je m’entends bien au quotidien avec mon mari mais notre sexualité fonctionne au ralenti.

Q : Depuis quelque temps, notre fille a tendance à s’enfermer dans sa chambre. Elle a exprimé à plusieurs reprises qu’elle en a assez de tout, et qu’elle pense que ce serait mieux pour tout le monde qu’elle ne soit plus là. Nous sommes très inquiets, et aimerions savoir quelle attitude adopter.

Q: Qu’est-ce qui change selon que je me dirige vers un cabinet de psychothérapie indépendant ou un centre de soins psychologiques du domaine public ?

Q: Nous cherchons un soutien psychologique pour notre fils, mais il n’est pas disposé à consulter. Devons-nous le forcer ?

Q: Notre fils a 14 ans et nos relations deviennent difficiles, il refuse de nous parler et s’isole avec son téléphone. Une amie m’a conseillé d’utiliser un logiciel espion pour suivre ses conversations car son enfant avait de mauvaises fréquentations au même âge.

Q: Quelle est la différence entre les thérapies cognitivo-comportementales (TCC) et les psychothérapies inspirées de la psychanalyse.